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 João LOPES (Terminé)

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Marion
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Messages : 1000
Date d'inscription : 19/05/2015

João LOPES (Terminé) Empty
MessageSujet: João LOPES (Terminé)   João LOPES (Terminé) I_icon_minitimeDim 7 Juil - 18:49



João Lopes
feat James Austin Kerr





HISTOIRE

Novembre 1991
« Nous interrompons votre programme pour un flash spécial. Le petit João a été enlevé. Âgé de trois ans, il portait un polo bleu, un pantalon noir et il avait un sac à dos bisounours. C'est sa mère qui semble en être à l'origine. De peau mate, elle a de longs cheveux noirs et portait une robe rouge. Si vous les voyez …. » En même temps que les paroles du journaliste, une photos d'un petit garçon souriant était diffusé sur tous les écrans d'Angleterre. Il fallait faire vite dans ce genre de situation et c'est pourquoi tous les habitants du pays étaient mis à contribution. Dans une petite maison de Cambridge, un père était inconsolable. Il était allé chercher son fils à l'école comme tous les jours depuis la rentrée scolaire. Il avait hâte de lui montrer la balançoire qu'il avait acheté pour mettre dans leur petit jardin. Pourtant quand il était arrivé, il avait vu la surprise dans les yeux de la maîtresse. João était parti avec sa maman, il y avait de cela trois heures. Elle était venu le chercher parce qu'il avait un rendez vous chez le pédiatre. C'était des conneries et le père avait essayé de joindre sa femme, sa future ex-femme au téléphone mais impossible. Il avait appelé leurs amis en commun, il avait tout fait avant de se rendre à l'évidence et d'avertir la police. Cela n'allait plus entre les deux parents et le divorce n'était pas loin. Mais depuis cette annonce, sa femme était devenue différentes, faisant des crises d'hystérie. Il avait hésité à la faire enfermé mais il aurait du. Il n'aurait jamais pensé qu'elle soit capable d'enlever l'enfant.

Et la jeune maman avait tout prévu : de faux papiers d'identités, aucun contact avec sa famille brésilienne et elle avait immigré vers la Suède. Pourquoi la Suède ? Et pourquoi pas. Le petit s'appelait à présent Ruben et elle avait inventé une histoire de toute pièce. Elle était persuadé que la bas, personne ne viendrait les chercher. Et elle avait bien raison. Après des semaines, des mois de recherches infructueuses, les policiers avaient progressivement relégués cette affaire au second plan et à présent, le portrait de João n'était plus diffusé quotidiennement sur les télévisions anglaises. Mais dans la maison à Cambridge, le père était effondré et avait beaucoup de difficultés à s'en remettre.

Mars 2000
« Maman, je peux choisir mon prénom cette fois ? » Agé de onze ans, le petit João n'avait pas vraiment conscience de ce que tout cela signifiait. Pour lui, c'était juste un jeu et faut dire qu'il s'amusait beaucoup. Après la Suède, ils étaient partis en Australie où il avait pris le nom de Malo Austin. Ils étaient restés plusieurs années là bas avant de partir en Russie sous le pseudonyme de Denis Callaghan. Aujourd'hui, une nouvelle fois, ils allaient prendre l'avion direction l'Argentine. Et cette fois, l'enfant avait envie de choisir son prénom, de choisir sa vie. Ce serait Connor Davis, il avait décidé que cette fois-ci son père serait un militaire de l'armée américaine qui était partie à la guerre et qui était mort en sauvant des civils. C'était un héros.

Il n'avait pas fallu longtemps pour que les nouveaux papiers arrivent et ils étaient alors monté tranquillement dans l'avion. João avait sa casquette visé sur la tête, sa mère avait changé de coiffure. Elle avait à présent les cheveux courts et blonds. C'était à chaque fois le même stress lorsqu'elle passait les contrôles. Cette peur de se faire prendre, de se faire arrêter et autant dire que son cœur battait à milles kilomètres heure. João lui ignorait tout cela, tout ce qu'il savait, c'est qu'il aimait bien voyagé et ces changements d'identités lui laissaient à chaque fois l'occasion de se créer une vie où souvent, son père était un héros. En tout cas, il avait hâte de découvrir sa nouvelle maison, ses nouveaux voisins et de partir à l'aventure.

Juillet 2002
« Nilza, c'est pas prudent de revenir au Brésil. » Elle le savait bien, c'était pas la peine de le lui dire mais c'était sa mère quand même. Elle ne pouvait pas la laisser partir sans lui dire au revoir. Elle serait prudente et puis, depuis le temps, les policiers anglais avaient du abandonner l'idée de les retrouver elle et son fils. Qu'importe, elle allait prendre le risque. Elle devait bien cela à sa mère. Juste le temps de reprendre une ancienne identité et les voilà donc partis en direction du Brésil. João n'avait aucun souvenirs du Brésil, faut dire qu'il y avait vécu seulement quelques jours après sa naissance. Il ne connaissait pas non plus la famille du côté de sa mère mais il l'avait suivi docilement, comme toujours.

Ils étaient arrivés au cimetière. Nilza et João avaient attendus que tous le monde soient devant la tombe avant de s'en approchés. Elle portait un grand imperméable noir, ainsi qu'un voile pour cacher son visage. Le garçon était habillé tout en noir et avait ses lunettes de soleil devant les yeux. Il ne pleurait pas. Faut dire qu'il ne connaissait pas sa grand mère hormis sur des photos alors pourquoi être triste de son décès. Il avait la tête baissé et évitait de regarder autour de lui. Pourtant, il sentait comme des regards insistants et cela le dérangeait un peu. Plusieurs fois, il regarda autour de lui mais rien à signaler. Il se re-concentra alors sur le discours, puis sur la mise en terre du cercueil. Chaque personne passa ensuite près du cercueil pour murmurer quelques mots à la défunte. João se contenta de passer devant la tombe. Quelques minutes plus tard, Nilza attrapa la main de son fils pour l’entraîner loin mais c'était trop tard. Deux voitures de police étaient sur le parking et la jeune mère de famille savait qu'elle n'avait aucune chance de s'en sortir. Cela devait bien arriver un jour mais elle avait profité de son fils pendant 14 années alors que son mari voulait la faire enfermer et la séparer de João. Elle se laissa faire et voilà que la jeune femme était embarqué menotté dans une des voitures sous les regards tristes de sa famille. João lui ne comprenait pas bien ce qu'il se passait. Sans faire de vagues, il grimpa dans l'autre voiture de policier. Rapidement, ils se retrouvèrent dans un avion direction l'Angleterre et Cambridge.

Le jeune garçon n'avait rien compris et il n'avait pas posé la moindre question durant le voyage. Il avait quand même essayé de voir sa mère mais on lui avait répondu que c'était impossible. Il espérait qu'en arrivant en Angleterre, il pourrait voir Nilza mais ce ne fut pas le cas. On l'emmena dans un bureau avec les stores baissés et on le laissa là plusieurs minutes, seul. Puis un policier vint le voir et lui expliqua tout en détail. Son enlèvement à l'âge de trois ans, leur fuite et surtout ce qu'il allait se passa par la suite. L'homme en-trouva un store. De l'autre côté un homme en larmes qu'il ne connaissait pas. « C'est ton père, il a tellement hâte de te revoir, il a jamais abandonné l'idée de te retrouver. » Lui ? Son père ? Après tout le mal que Nilza lui avait dit sur lui, pas question d'aller vivre avec lui. « J'veux pas aller avec lui et vous pouvez pas m'obliger » Il avait croisé les bras sur sa poitrine. Du haut de ses quatorze ans, il avait un caractère bien trempé et quand il avait décidé quelque chose, c'était presque impossible de l'y obligé. « Je foutrais la tête du chien dans les toilettes, je déchirerais tous ses vêtements. Et si ça suffit pas, je foutrais le feu à sa baraque. » Il lança alors un regard de défi en direction du policier. « Vous allez prendre le risque de m'emmener là-bas ? » Le policier sortit alors de la pièce et João s'approcha du store pour regarder ce qu'il allait faire. Il devait expliquer à son père ce qu'il avait dit mais l'homme semblait déterminé et il entra dans la pièce où se trouvait João. « Mon fils, tu n'es devenu un beau jeune homme » C'est vrai que les deux se ressemblaient beaucoup et João savait à présent d'où il avait hérité ses beaux yeux bleus. « Ca sert à rien de faire dans le sentimentalisme, je viendrais pas chez toi. » Il s'en était suivi un placement dans un foyer avec un suivi psychologique. Le résultat était clair, il était capable de tout pour ne pas habiter chez son père et l'envoyer là bas serait une pure folie. Tant mieux. Il ne voulait pas aller chez cet homme qui avait voulu faire passer sa mère pour folle, qui avait voulu la séparer de son enfant et qui l'avait aussi battu et violé lorsqu'ils étaient ensemble.

Septembre 2002
« Vous êtes sérieux ? J'veux pas aller vivre avec deux guines. » Cela faisait deux mois qu'il était au foyer et on venait de lui trouver une famille d'accueil. Déjà qu'il n'avait pas vraiment envie d'aller vivre avec des inconnus qui comprendrait rien à ce qu'il ressentait mai alors en plus avec deux femmes, on l'avait pris pour qui ? Mais on lui avait bien fait comprendre qu'il n'avait pas le choix et s'il voulait pouvoir aller voir sa mère en prison, il devait faire des efforts. Ok, ça il avait bien compris mais quand même, là, c'était même plus des efforts, c'était pire que le bagne. Il avait fait sa valise avec autant d’enthousiasme qu'un prisonnier dans le couloir de la mort. On était venu le chercher, il avait garder le silence dans la voiture, lorsqu'on lui montrait sa chambre, lorsqu'on lui dit que le dîner serait servi dans une heure. Il posa sa valise sous le lit. Pas question de la vider, de toute façon, il ne resterait pas très longtemps dans le coin. Cette famille là, il n'en voulait pas. Quelle réputation il allait avoir auprès des autres. Il n'avait pas l'intention qu'on le traite de tafiole ou qu'on se fout de lui pour avoir des lesbiennes auprès de lui. Il se dirigea dans le jardin avant de tomber nez à nez avec un jeune garçon qui semblait avoir 3 années de moins que lui. « T'es le voisin ? » Le jeune lui informa qu'il s'appelait Soren et qu'il vivait ici avec les deux guines. Mauvaise réponse. T'aurais été le voisin, João aurait pu faire un effort, là, c'était différent. Mais le fait qu'elles aient un enfant allait être beaucoup plus simple pour se faire virer de cette famille. C'était décidé, Soren allait en prendre pour son grade. Le pauvre avait rien fait mais la vie est toujours aussi injuste. « Ah c'est toi la tafiole qui a la chambre juste en face de la mienne ? » Le sourire provocateur de João n'aidait pas à le rendre sympathique sur ce coup là et mais le jeune Soren ne se laissa pas démonter et tenta de mettre un coup de poing à João. Raté mon petit. Sauf que le poing du brésilien vint se loger dans le nez de Soren qui commençait à pisser le sang. Il partit alors rapidement en direction de la maison. « Allez va chialer dans les jupons de maman. C'est que le début mon p'tit. »

Février 2003

Un coup de poing, suivi par un deuxième, un troisième et agrémenté de quelques insultes bien placé. Il n'avait pas fallu beaucoup de temps pour que les deux broutes-minous se décieent à le renvoyer au foyer. Evidemment, il ne s'était pas gêné pour faire un gros bras d'honneur à Soren alors qu'il quittait sa maison pour toujours. Retour à la case foyer. Là, il y était resté un peu plus longtemps. Ils espéraient quoi ? Qu'il se calme et qu'il soit plus docile ? C'était mal le connaître. Aussi lorsqu'après plusieurs mois, on est venu le chercher pour lui dire qu'une nouvelle famille d'accueil venait le récupérer, il soupira. Il allait tombé sur qui cette fois ?

« Woua, la baraque de malade » Cela avait été la réaction de João alors qu'ils entraient dans la cour de la maison dans un 4*4 . Devant lui, c'était une magnifique villa avec une piscine, des chambres gigantesques, une femme de ménage et un chauffeur. Lui qui n'avait jamais connu cela était vraiment impressionné. Alors qu'il avait une nouvelle fois glissé sa valise sous le lit, il s'était empressé d'aller dans la piscine chauffé et couverte bien évidemment. Finalement, il allait peut-être se plaire ici. Au moins, il pourrait avoir tout ce qu'il voulait. Fallait bien voir le bon côté des choses.

Parce que malheureusement, il voit bien vite le mauvais côtés des choses. Toujours être bien habillé, poli et surtout, surtout, assisté à ces repas de gala avec des gens de la haute société. Il n'aimait pas être habillé comme un pingouin et en plus, il était exhibé devant tout le monde. A c'est lui le pauvre enfant. Il n'était pas pauvre et ce n'était pas un enfant avait-il envie de crier à chaque fois mais il ferma sa gueule. Forcément, il avait bien rapidement compris pourqu'on ces gens était famille d'accueil. En effet, c'est tellement valorisant et ça fait monter sa côté de popularité lorsqu'on accueille des jeunes en difficulté.

Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, il avait décidé de faire chier son monde. Après avoir bu un verre avec ses parents d'accueil, il avait piqué un paquet de clopes dans la poche d'un des convives et il était allé se réfugier derrière le château. Les adultes étaient trop occupé à bavarder et à manger des petits-fours entre gens de la haute société. Il était assis sur des marches, tentant tant bien que mal d'allumer sa cigarette. Lorsqu'il y parvint, il releva les yeux et croisa ceux d'un gamin, un peu plus jeune que lui. « Qu'est ce qu'il a le gros sac, il veut ma photo ? » João et sa délicatesse habituelle. Il aime pas les homos, il n'aime pas les gros non plus. Il n'aime pas les intellos, il n'aime pas les gens pas sportifs, il n'aime pas les cons, il n'aime pas son père. Quoi qu'il en soit, pas question d'être sympa avec ce porc que ses parents ont du gaver pour qu'il pèse autant. Mais pourtant, le gamin, il reste là. Pourquoi ? « Tu veux tirer une latte ? La clope ça aide à maigrir. » Voilà comme João avait fait la connaissance de Wes et comment il avait commencé à fumer par la même occasion.

Les moqueries, João n'avait pas lésiné dessus. Faut dire qu'il voyait Wes a chacun de leur repas de gala et il s'en donnait à cœur joie. Mais pourtant, ce mec là, il lui lâchait pas les basques, il ne l'insultait pas, il ne le frappait pas même quand João était particulièrement méchant. Pourquoi ? En tout cas, ils ne le savaient pas encore mais ça marquait le début d'une belle amitié. Grâce à João, Wes s'est décida à perdre du poids et à devenir un autre homme. Pour João, Wes a été son point de repère, d'attache pour parler de ses soucis dans ses familles d'accueil et aussi, c'est chez lui qu'il se réfugiait dès que ça n'allait pas et qu'il avait besoin de souffler. Mais pour cela, il leur a fallu quand même plusieurs années.

Décembre 2003
Il était resté presque un an dans cette famille d'accueil. Le fait de tout avoir juste en claquant des doigts était plutôt agréable surtout qu'il n'était pas habitué. Mais ses parents d'accueil n'étaient pas souvent là et pas derrière son dos. Alors forcément après la clope, il avait continuer avec l'alcool et il avait même touché à la drogue. Pas grand chose, juste quelques joints de temps en temps et il avait même tenté les champignons hallucinogènes. Ils s'étaient filmés et la vidéo avait fini sur le net. Autant dire que les parents n'avaient pas vraiment appréciés cela et après avoir trouver du shit dans sa chambre, ils l'avaient renvoyé direct au foyer. A croire qu'il ne parviendrait pas à trouver une famille. Quoi que ce n'était pas ce qu'il cherchait vu qu'il espérait toujours que sa mère puisse un jour sortir de prison et qu'il puisse retourner vivre avec elle.

Il était revenu deux semaines deux semaines au foyer avant qu'on tente à nouveau de le fourguer quelque part. A croire qu'ils ont des primes quand ils placent un enfant sans se soucier de ce qu'il ressent, de ce qu'il veut. C'est encore une fois en traînant les pieds qu'il arriva dans cette nouvelle famille. Encore une fois, il glissa sa valise sous le lit, sans se soucier de débarasser ses affaires. Mais cette fois, il y avait un autre lit dans sa chambre. Quoi il allaient devoir partager ? Comme s'il avait pas assez partager au foyer. Voilà une chose qui le faisait bien chier. Et en plus, même pas de piscine chauffée, de console de jeu ou encore de billard. Autant dire que ça le changeait vraiment de sa précédente famille d'accueil.

Mais finalement, c'était pas si terrible que cela. Forcément, au début, il avait voulu faire son rebelle comme à chaque fois. Il avait commencé à dire quelques méchancetés, faire quelques conneries. Mais il semblerait qu'il y en a une qui voulait encore plus que lui qu'il s'en aille. Svetlana. C'était la nièce de sa famille d'accueil et vivait dans la même maison que lui. Elle faisait des conneries encore pires et accusait à chaque fois João. Il voulait bien faire des conneries et partir parce qu'on ne supporte plus son caractère de con mais alors se faire accuser pour rien, pas question. Aussi, il avait fait tout l'inverse, essayant d'être le plus gentil, le plus calme et le plus serviable possible comme pour faire chier Svetlana au maximum. Et cela avait durer une année. Qu'est ce qu'elle était passé vite cette année et bizarrement, João n'avait pas vraiment envie de partir d'ici. Il s'y sentait bien malgré les crasses de Svetlana mais il n'avait pas perdu espoir de se faire apprécier par la demoiselle comme il l'avait fait avec son frère et sa sœur.

« Tu vas où encore, tu vas te faire choper. » Il avait ouvert sa fenêtre en entendant du bruit et il avait vu Svetlana faire le mur. Aucun doute qu'elle se rendait à une soirée, il l'avait entendu en parler tout à l'heure. Pas question de la laisser partir seule surtout dans cette tenue. Il avait enfilé un pantalon, un t-shirt et il avait sauté de la fenêtre pour la rattraper. Evidemment, elle l'avait copieusement insulté pendant tout le trajet mais il avait l'habitude et il ne s'en formalisait même plus. Il avait fait attention qu'elle ne boive pas trop, qu'elle ne fume pas, qu'on ne glisse rien dans son verre. Finalement, il avait attendu plusieurs heures comme cela avant qu'un homme essaye de l'embrasser. João s'était redressé et avait regardé la scène de loin. Mais lorsqu'il avait vu Svetlana refuser ses avances sans que l'autre ne comprenne, son sang n'avait fait qu'un tour et il était allé lui mettre son poing dans la gueule avant de ramener la demoiselle à la maison. Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que le frère de la demoiselle fasse un cauchemar, que son oncle accourt et qu'il se rende compte de leur disparition. Il était assis sur le siège en bois dehors en les attendant. Alors qu'il attendait des explications, c'est João qui prit la parole en premier. « C'est ma faute. Je suis sorti et elle est venu pour éviter que je fasse des conneries. » Evidemment, j'ai été puni. Plus de portable, plus de sorties mais c'était un mal pour un bien. Depuis ce jour avec Svetlana, les choses se sont arrangées et elle a fini par l'accepter. Il est resté chez eux jusqu'à ses vingt et un ans et il les considère comme ma famille. Ils m'ont même accompagner voir ma mère.Lorsque il est entré à l'université (avec quelques années de retard à cause de sa cavale), il a continuer de venir les voir régulièrement. Avec Svetlana, les choses sont toujours compliqué. On dirait qu'elle cherche à s'autodétruire mais pas question pour João de la laisser faire et il la surveille comme le lait sur le feu. La seul qui connaît ce côté là de João.

Septembre 2015
Aujourd'hui, João n'a pas tellement changé. Il déteste toujours autant son père, sa femme et ses enfants. Il s'est mis à travailler en cours et malgré plusieurs années de retard, il arrive plus ou moins à s'en sortir à l'université. Sa confrérie, c'est comme sa famille. Le sport et les filles, ce sont ses passes-temps préférés et il squatte presque toutes les soirées organisées sur le campus. Il a certaine popularité et c'est soi on l'aime, soit on le déteste, avec lui, y'a pas de juste milieu. Alors vous êtes plutôt de son côté ou de l'autre ? Méfiez vous, si João vous a dans le nez, c'est pas bon signe et pour risquez de souffrir, hein Soren
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